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27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 21:20

   Depuis  le temps que j'en parle, je la montre enfin cette sculpture qui m'a occupé les mains, l'esprit et les tripes cet hiver.

6 mois à mettre tous les morceaux en place, déplacer une image du cerveau pour la mettre sur papier et enfin se lancer dans la sculpture, sans se lasser et en prenant le temps de faire.

Les photos sont de Cédric Bosquin () et un énorme merci à Nos pour son accueil dans son atelier (et aussi dans son appart'!!). Sans sa forge et son marteau-pilon, cette pièce ne serait toujours pas là, même au coeur de l'hiver en pays Nantais, on trouve un peu de chaleur humaine et de sincérité (faut gratter et compter sur les doigts d'une main, mais c'est déjà ça!!)

Les dimensions sont

Longueur : 880 mm

largeur : 600 mm

Hauteur : 880 mm

Poids : Lourd!!

Et comme d'hab', les musiques font partie de l'article.

Je mets également toutes les photos dans un album éponyme.

Bonne lecture, bonnes photos, bonne écoute et  bientôt une page supplémentaire dans le -Book by Biks-.  A vous de vous exprimer si vous le désirez.

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commentaires

B
<br /> CouCou mon Lo*. Très joli ce Shamaël. Aussi bien en vrai qu'en photo :-). Des Bisous :-)<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Je ne savais pas que tu avais un blog. Je viens d'y passer un bon moment, à partir de SHAMAËL en remontant le temps... perso j'en étais resté à Valparaiso. Cette sculture est très belle, un grand<br /> bravo.<br /> <br /> <br />
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T
<br /> yep, ti'lien vers tôa de chez môa...tu me diras si tu as eu des visites;-)) byoux<br /> <br /> <br />
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  • : Le blog de Lo*
  • : Sculptures métalliques Ferronnerie
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[Cafard-naüm]:

 



Plus de 420 millions d’années nous séparent des arthropodes marins sortant des océans et peuplant peu à peu notre Terre.

Encore maintenant, 10 000 000 000 000 000 000 de corps segmentés, aux pattes articulées et à l’exosquelette coriace subsistent à nos côtés.

L’histoire humaine, de par ses systèmes politiques et communautaires, semble pouvoir être traduite en langage insektoïde. [CAFARD-NAÜM] pourrait ainsi, à travers l’allégorie des insectes, traiter une certaine perception de la réalité extérieure, où le choix des matériaux -déchets industriels de récupération- symboliserait une vision matérialiste pessimiste de notre environnement…

Mais avant tout, [CAFARD-NAUM] est une exposition grouillante, sonore et allumée. Une mise en espace « in situ » d’une multitude de spécimens d’insektes qui, à l’instar de leurs ancêtres, se déploient, s’adaptent à l’espace dans lequel ils évoluent..

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