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16 avril 2019 2 16 /04 /avril /2019 17:35

Suite au commentaire tout en bas de l'article suivant :

http://loetoile.over-blog.com/2019/03/brownie-samedi.html

Voici quelques photos de la sculpture incriminée, donc "KOLIK" réalisée en 2013.

Photos Cédric BOSQUIN
Photos Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN
Photos Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN

Avril 2019, ça c'est fait.

Photo Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN
Photo Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN
Photos Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN
Photos Cédric BOSQUIN

Photos Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Photo Cédric BOSQUIN

Petit supplément vidéo. Rien d'autre à ajouter, enfin, pour ma part.

Merci à Cédric BOSQUIN pour les images et à BALZARY pour le montage de celles-ci

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commentaires

N
Y'a pas photo ! C'est un bel hommage que voilà, hommage au boulot précédant la destruction… Jusqu'ici, je n'en avais vu que des p'tits bouts du fameux Kolik, un bout de métal en cours de destruction, un bout de métal polémique… C'était malheureusement bien plus qu'un simple bout de métal… Des heures de taf, un savoir faire indéniable, un style, une interprétation, une vision.<br /> <br /> Merci à Cédric pour ces photos. Ça laisse quand même un 'tain de goût amer dans la bouche…
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S
Très bel article, très intéressant et bien écrit. Je reviendrai me poser chez vous. A bientôt.
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  • : Le blog de Lo*
  • : Sculptures métalliques Ferronnerie
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[Cafard-naüm]:

 



Plus de 420 millions d’années nous séparent des arthropodes marins sortant des océans et peuplant peu à peu notre Terre.

Encore maintenant, 10 000 000 000 000 000 000 de corps segmentés, aux pattes articulées et à l’exosquelette coriace subsistent à nos côtés.

L’histoire humaine, de par ses systèmes politiques et communautaires, semble pouvoir être traduite en langage insektoïde. [CAFARD-NAÜM] pourrait ainsi, à travers l’allégorie des insectes, traiter une certaine perception de la réalité extérieure, où le choix des matériaux -déchets industriels de récupération- symboliserait une vision matérialiste pessimiste de notre environnement…

Mais avant tout, [CAFARD-NAUM] est une exposition grouillante, sonore et allumée. Une mise en espace « in situ » d’une multitude de spécimens d’insektes qui, à l’instar de leurs ancêtres, se déploient, s’adaptent à l’espace dans lequel ils évoluent..

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