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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 12:45
DSCF6983Chile 460 
Taller, ça signifie Atelier et El Litre, c'est le nom du Cerro (colline) au pied de laquelle il se trouve.  C'est un atelier "communautaire" drivé par Willy et Mayra, purs produits Valpo qui s'occupent de ce squat qui a 30 ans. Moi qui voulais rencontrer des "êtres humains", et bien j'ai été servi. Magnifique rencontre de ces deux personnage .Willy officie dans le théâtre, le cirque, les ateliers sociaux, les chars de carnaval, et pas uniquement sur Valparaiso: son réseau s'étend sur toute l'amérique du sud et centrale, un défenseur de la culture populaire et alternative, un pourfendeur de privilèges!!!! Mayra est sa compagne dans la vie de tous les jours et en tant que costumière, elle est bien évidement avec Willy sur les projets divers et variés.
J'ai vécu 4 jours là-bas, rejoint par Glen, qui a été mon compagnon de route sur le reste du périple chilien.  Evidemment, c'était beaucoup trop tentant d' y faire quelque chose, c'est l'occasion qui fait le larron!!! Et puis l'accueil a tellement été chaleureux que je me sentais un peu redevable, donc en plus d'y avoir passé mes nuits, j'ai également "travaillé" au Taller, du roots de chez roots!!! Mais le plaisir et la satisfaction de faire un Chlorion Lobatum en 3D, et pas uniquement au marqueur sur les murs, ont eu raison des conditions matérielles!! Et puis, avec mon atelier à Alizay, je commence à avoir l'habitude de travailler dans une ambiance "précaire"!!! Alors voici quelques photos de la "performance" chilienne
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  • : Le blog de Lo*
  • : Sculptures métalliques Ferronnerie
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[Cafard-naüm]:

 



Plus de 420 millions d’années nous séparent des arthropodes marins sortant des océans et peuplant peu à peu notre Terre.

Encore maintenant, 10 000 000 000 000 000 000 de corps segmentés, aux pattes articulées et à l’exosquelette coriace subsistent à nos côtés.

L’histoire humaine, de par ses systèmes politiques et communautaires, semble pouvoir être traduite en langage insektoïde. [CAFARD-NAÜM] pourrait ainsi, à travers l’allégorie des insectes, traiter une certaine perception de la réalité extérieure, où le choix des matériaux -déchets industriels de récupération- symboliserait une vision matérialiste pessimiste de notre environnement…

Mais avant tout, [CAFARD-NAUM] est une exposition grouillante, sonore et allumée. Une mise en espace « in situ » d’une multitude de spécimens d’insektes qui, à l’instar de leurs ancêtres, se déploient, s’adaptent à l’espace dans lequel ils évoluent..

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